être heureux et en paix intérieure

La paix intérieure est notre état naturel (avant que les ennuis ne commencent !). Regardez comment un bébé est détendu et joyeux, ouvert, curieux d’explorer… Pour autant, vous n’êtes probablement pas pleinement en paix intérieure, pas complètement heureux et épanoui en ce moment même. Bien que n’ayant peut-être aucune contrariété en tête, il y a toujours une petite araignée au plafond qui travaille en arrière plan du mental à ruminer je ne sais quel espoir inassouvi, je ne sais quelle amertume non digérée… Pourtant il est possible de croquer la vie à pleine dents. Ceux qui ont actuellement une vie difficile pourraient rester sceptique, et ce serait logique. Alors voici le témoignage de quelqu’un qui a vécu une vie TRES difficile, et qui a l’air de s’en satisfaire plutôt pas mal… Voici le témoignage d’un homme à qui il est arrivé un « pépin »… et qui s’en sort encore mieux qu’avant question bonheur !

La paix intérieure : s’ouvrir à la joie

Que vous inspire cet homme qui  témoigne par son expérience qu’il est possible d’être heureux, même sans ses membres ? Attention, il ne dit pas que cela a été facile ! Il est parvenu à cet état de joie et de paix intérieure à force de ne pas pouvoir faire autrement. La joie l’a trouvé quand il s’était perdu… Qu’est-ce que la joie ? Elle ne dépend pas des circonstances, c’est un état accessible à tout instant, même au sein d’une situation difficile, au fond des émotions de colère, de peur, ou de tristesse. C’est une question de maturité émotionnelle, c’est un état qu’on apprend à retrouver en soi, à force d’y aller s’y ressourcer. On finit par y demeurer et y vivre sa vie depuis ce point d’appui. Cela ne veut pas dire que les tourments cessent comme par magie, mais ils n’ont plus la même emprise, ils ne parviennent plus à effacer ce plan de conscience de la profondeur de l’être, où vous expérimentez que vous ne risquez rien puisque vous êtes là…(un peu comme on dit à un enfant : »tu ne risques rien, je suis là »). Vous êtes là, vous êtes maintenant, vous êtes tout court. Et cela suffit. Le reste n’est que pensé. Et comment vous sentez-vous sans ces pensées pénibles (voir à ce propos cette technique de coaching) ? Bien… Et oui, sans ces pensées, vous êtes bien. le problème est qu’elles ne cessent de revenir en boucle et de changer de forme, changer d’objet. C’est une maladie mentale, dont nous sommes tous affectés. Voulez-vous en guérir ?

Un coaching pour être heureux ?

Un coach n’est pas un charlatan qui vend des élixirs de bonheur. Mais quelques séances pour vous remettre les yeux en face des trous, des fois cela ne fait pas de mal, et contribue à vous remettre d’aplomb. En vous reliant à votre profondeur, en vous reconnectant à ce qui est vrai pour vous, vous pourrez vous réaligner, vous remettre dans votre axe, rentrer chez vous finalement… Je suis toujours heureux d’accompagner une nouvelle personne qui souhaite se mettre en chemin vers sa vérité, vers son bien-être intrinsèque. Je travaille par téléphone à travers des séances individuelles d’une heure. Je vous expliquerai comment ça marche et vous n’avez qu’à essayer pour voir. Si vous n’êtes pas satisfait de la première séance, vous ne paierez rien. Il faut bien essayer une paire de chaussures avant de l’acheter…

Est-il possible d’être heureux ?

Etre heureux est notre état naturel à la naissance (avant que les ennuis ne commencent !). Regardez comment un bébé est détendu et joyeux, ouvert, curieux d’explorer…

Pour autant, vous n’êtes probablement pas pleinement heureux en ce moment même. Bien que n’ayant peut-être aucune contrariété particulière en tête, il y a toujours une petite araignée au plafond qui travaille en arrière-plan du mental à ruminer je ne sais quel espoir inassouvi, je ne sais quelle amertume non digérée…

Être heureux ne dépend pas des circonstances

Le bonheur est un état accessible à tout instant, même au sein d’une situation difficile, y compris au cœur d’une émotion de colère, de peur, ou de tristesse. C’est une question de maturité émotionnelle, et d’entrainement à retrouver cet état en soi.

Et à force d’y aller s’y ressourcer, on finit par y demeurer pour finalement y vivre toute sa vie depuis ce point d’ancrage dans notre nature essentielle. Cela ne veut pas dire que les tourments cessent comme par magie, mais ils n’ont plus la même emprise, ils ne parviennent plus à effacer ce plan de conscience de la profondeur de l’être, où vous expérimentez que vous ne risquez rien, puisque vous êtes là… Vous êtes là, vous êtes maintenant, vous êtes tout court. Et cela suffit. Le reste n’est que pensées.

Et comment vous sentez-vous sans ces pensées pénibles ?

Etre serein, trouver la paix intérieure ?

C'est beaucoup plus simple que vous ne l'imaginez. Quelques séances de coaching peuvent vous aider à vous recentrer, à y voir clair et à prendre quelques décisions salutaires. Ne restez pas seul(e) avec votre difficulté. Voyez courageusement comment la résoudre, ou comment vivre avec !

Voyons ce qu'on pourrait faire ensemble...

Vous vous sentez bien…

Et oui, sans ces pensées, vous êtes bien !

Le seul problème est qu’elles ne cessent de revenir en boucle et de changer de forme, changer d’objet. C’est une maladie mentale, dont nous sommes tous affectés.

La bonne nouvelle c’est que vous pouvez en guérir. Nous allons voir comment…

Ressentir le bonheur en marchant

Tout en marchant tranquillement là où vous voudrez, saisissez mentalement une pensée à propos de quelque chose qui vous contrarie :

– une inquiétude par rapport à l’avenir

– un regret ou un remords par rapport au passé

– une insatisfaction par rapport au présent

Voyez cette pensée. Ecrivez-là s’il vous plaît.

Puis respirez, détendez-vous, visitez votre corps de l’intérieur, en sentant les différentes parties de votre corps.

Et quand vous vous sentez bien dans votre corps, posez-vous cette simple question : « Comment vous sentez-vous, sans cette pensée de tourment que vous avez notée ? »

Vous vous sentez bien sans cette pensée, probablement !

Alors, voyez bien que vous êtes déjà heureux, et que le problème vient de la pensée.

Reprenez votre marche, en restant attentif au chemin, et à vos sensations corporelles. Il n’en faut pas plus pour sentir l’être heureux que vous êtes, sous les pensées.

Quand elles reviennent, voyez-les sans partir avec. Restez avec le chemin et avec votre corps, ils vous ramèneront à la conscience de votre être profond comme une ancre maintient un bateau en place. Peu à peu les pensées de tourment perdront de leur emprise sur vous et vous serez de plus en plus heureux. Votre chemin de libération commence maintenant.

Nous espérons que ces exercices et marches présentées sur ce site vous aideront à vous mettre en marche vers la profondeur de votre être, qui est déjà là, et qui n’a besoin de rien du tout pour que vous soyez parfaitement heureux tout de suite.

Etre heureux c’est simple :

Tant qu’on cherche à mettre le bonheur en équation, à poser des prérequis au bonheur, à réunir des circonstances extérieures, on cherche finalement à s’acheter du bonheur en boite (vous en trouverez en paquets de six dans tous les supermarchés :-), et on ne parvient pas à être heureux au travail, ni elle part !

Si c’était le cas, ça se saurait, vous seriez heureux à votre travail depuis longtemps. Mais à chaque fois que vous avez obtenu ce que vous désiriez, vous n’avez été satisfait que ponctuellement, et cela ne vous a pas rendu plus heureux durablement. La preuve, c’est que vous vous êtes remis presque aussitôt en quête d’une prochaine satisfaction (ou bien à fuir la prochaine insatisfaction, ce qui revient au même).

En fait, pour être heureux, à proprement parler : il n’y a rien à « faire » !

L’accès au bonheur

Les problèmes que nous rencontrons dans nos vies n’ont rien avoir avec le fait d’être heureux au travail ou malheureux (voir à ce sujet cet autre article : bien-être au travail). Ce qui nous empêche d’être heureux vient toujours d’une seule et même confusion :

Nous croyons que pour être heureux à l’intérieur il faut acquérir des objets à l’extérieur (j’entends par « objets » tout ce qui est objectif : des évènements, des circonstances, des situations, des perceptions, des pensées, et pas que des choses matérielles.), alors que c’est exactement l’inverse :

Nous n’avons ainsi rien à faire pour être heureux au travail et dans la vie, nous le sommes déjà par nature. Et quand cet état naturel de bonheur s’épanouit, parce qu’il n’est pas entravé, obscurci par des couches superposées de souffrances et de croyances diverses (visant à nous protéger de ces souffrances), les circonstances extérieures s’alignent d’elles-mêmes, parce que nos actes expriment l’harmonie intérieure dans laquelle nous vivons.

Se recharger dans la nature

Pour augmenter votre niveau d’énergie, vous pouvez également très simplement faire une balade à la plage ou en forêt (plutôt pas l’hiver si vous pouvez, parce que la forêt est moins donnante à cette saison-là. Mieux vaudrait y aller au printemps par exemple.). Il est délicieux de se promener au bord d’une rivière, de se reposer dans une clairière, ou tout simplement l’été de faire une sieste au pied d’un arbre. Mais si vous êtes davantage tenté par les activités sportives, vous pouvez aussi :

Peu importe tant que vous êtes dehors, dans la nature, à vous émerveiller de la beauté des paysages ! Il s’agit de respirer amplement, vider votre esprit, relâcher les tensions, ouvrir les yeux, regarder au loin, sourire

Recharger ses batteries vitales

Une autre manière simple et directe de se remonter le niveau d’énergie est de se connecter aux arbres. Il s’agit là d’une pratique énergétique traditionnelle, que l’on retrouve dans de nombreuses cultures. Cela se comprend aisément, puisque, sans rien savoir à ce sujet, cela se pratique spontanément de manière intuitive. Il suffit de trouver beau un grand arbre et de le prendre dans ses bras. Ou bien s’adosser à son tronc pour partager sa tranquillité quelques instants. Faire cela permet de se nettoyer énergétiquement et de se recharger en vitalité.

Comment faire ? C’est très simple :

  1. Cherchez un arbre plus grand que les autres, bien droit et majestueux, qui vous inspire par sa force et sa beauté.
  2. Demandez lui mentalement s’il accepte que vous séjourniez quelques instants auprès de lui. Bien sûr, comme on n’est pas dans un dessin animé, il ne va pas vous répondre avec une voix grave de vieux sage de la forêt 🙂 Mais les végétaux sont très sensibles à l’humain, et il vous ressentira si vous vous approchez et lui adressez votre attention. Et même si vous ne captez pas sa réponse de manière sensorielle, cette demande silencieuse vous mettra en état d’humilité et de réceptivité.
  3. Eventuellement pieds nus, face à lui, posez les mains sur son tronc et dîtes-lui combien vous le trouvez beau (si c’est vrai évidemment !). Puis adossez-vous et laissez vos fatigues et vos soucis s’écouler par votre dos. Ce colosse de la forêt ne sera pas pollué par vos miasmes. au contraire, d’une certaine façon il s’en nourrira.
  4. Puis retournez-vous et enlacez-le, faîtes lui un gros câlin. Pourquoi pas un bisou ? Demeurez ainsi quelques minutes…
  5. Puis remerciez-le (et pour ceux qui se sentent un peu chamanes sur les bords, vous pouvez lui faire une offrande : un peu de miel, quelques noix, une poignée de céréales…)

Peut-être ressentirez-vous des picotements et des sensations agréables de détente. En tous cas, vous en ressortirez avec une belle sensation de recharge énergétique.

Notre état naturel est d’être heureux

Notre nature profonde d’être heureux n’est donc pas affectée en profondeur par les vicissitudes de l’expérience. Rassurez-vous, cela n’a rien à voir avec de la schizophrénie : vous ne vous prenez pas pour quelqu’un d’autre. Au contraire, vous cessez de vous prendre pour quelqu’un. Vous êtes celui qui perçoit, et définitivement vous n’êtes pas celui qui est perçu.

La joie de vivre, la joie d’être, la joie d’être bien dans son travail, ces joies se trouvent dans les petites joies du quotidien :

Il y a un grand amour et un grand humour aussi dans tout cela, qui est parfaitement simple. Simple comme la vastitude de l’espace du “je suis”.

On ne demande rien, on offre un rayonnement généreux. Etre heureux, c’est simple comme la vie est simple…quand on ne se la complique pas !

C’est aussi joyeux qu’une source jaillit de terre, ou qu’un vol d’oiseau s’élance dans le ciel.

Etre heureux ne dépend pas des circonstances, c’est un état accessible à tout instant, même au sein d’une situation difficile, au coeur d’une émotion de colère, de peur, ou de tristesse. C’est une question de maturité émotionnelle, c’est un état qu’on apprend à retrouver en soi, à force d’y aller s’y ressourcer. On finit par y demeurer et y vivre sa vie depuis ce point d’appui. Cela ne veut pas dire que les tourments cessent comme par magie, mais ils n’ont plus la même emprise, ils ne parviennent plus à effacer ce plan de conscience de la profondeur de l’être, où vous expérimentez que vous ne risquez rien puisque vous êtes là…(un peu comme on dit à un enfant : »tu ne risques rien, je suis là »).

Vous êtes là, vous êtes maintenant, vous êtes tout court. Et cela suffit. Le reste n’est que pensées. Et comment vous sentez-vous sans ces pensées pénibles ?

Bien, probablement…

Et oui, sans ces pensées, vous êtes bien. Le problème est qu’elles ne cessent de revenir en boucle et de changer de forme, changer d’objet. C’est une maladie mentale, dont nous sommes tous affectés.

Voulez-vous en guérir ? Un coaching de vitalité peut vous aider en quelques séances à reprendre le chemin de la joie de vivre…

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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