Comme pour la plupart des systèmes complexes, les besoins d’une équipe sont multiples. Il faut les prendre en compte dans un bon équilibre. Nous utilisons les 4 éléments traditionnels pour catégoriser les besoins d’une équipe (qui correspondent d’ailleurs à 4 logiques de fonctionnement d’équipe), pour atteindre durablement une haute performance.
Symbolique des 4 éléments d’Aristote
- La terre est l’élément concret et solide, les fondations sur lesquelles prendre appui pour bâtir
- L’eau est à la fois la matrice et le lien qui fait circuler la vie
- L’air est le medium du souffle, l’élément qui donne l’élan, qui invite à aller de l’avant
- Le feu apporte la lumière et la chaleur (la conscience et la joie du cœur). Allant directement à l’essentiel, il symbolise le progrès.

Les besoins d’une équipe classés selon les 4 éléments
Retraduits en termes de management, pour décrire les besoins d’une équipe, voici comment nous interprétons ces éléments traditionnels de la métaphysique d’Aristote :
- La terre : Un cadre de travail rassurant et du support technique concret
- L’eau : Une bonne cohésion, des interactions fluides, une communication efficace
- L’air : Du souffle et l’idéal inspirant d’un projet commun enthousiasmant
- Le feu : Une grande concentration sur des résultats ambitieux, qui nécessitent de se dépasser soi-même… tous ensemble !
Nous avons structuré notre offre d’ateliers de coaching d’équipe et notre offre de stages de formation sur la réponse du management à ces besoins fondamentaux d’une équipe.
Remarque : nous avons retenu cette représentation au travers de la symbolique des éléments, pour deux raisons :
- fondatrice de notre culture, elle véhicule un sentiment de « structure archétype » inhérente au vivant
- elle permet de communiquer sur le besoin d’équilibre et d’harmonie entre ces 4 éléments-énergies-besoins-actes de management, plutôt que de dire de façon trop réductrice que chacun des besoins d’une équipe correspond à un niveau de maturité (et que les équipes les plus mûres pourraient faire l’économie des pratiques de terre, tandis que les plus grégaires ne pourraient accéder à celles du feu…).