Comment se sortir d’un processus de conflit et de dispute ? Comment désengager l’équipe (ou soi-même) de ce tourbillon, qui entraîne les meilleurs vers le fond ? Comment guérir de cette maladie mentale, qui consiste à se croire investi d’un rôle au sein d’un contentieux, quel qu’il soit ?

Le conflit n’est qu’une mise en scène

Différencions dans notre propos un désaccord ponctuel, qui se résout assez rapidement et ne laisse pas de trace, et un contentieux qui dégénère en conflit, lequel est un processus actif, au-delà même de ses contenus. Un conflit s’inscrit dans la durée, et peut se déporter avec d’autres personnes, sur d’autres sujets. Le conflit est comme un virus, qui agit inexorablement, tant qu’on ne change pas de programme intérieur, tant qu’on ne désamorce pas cette contamination. Quand on réalise que dans un conflit, l’autre n’est qu’une projection extérieure d’une partie intérieure de soi, qui n’est pas en paix avec une autre partie intérieure de soi, on n’a plus de temps à perdre à jouer un rôle dans des conflits extérieurs (voir aussi : « faire la paix »). Bien sûr, si quelqu’un vous assaille de reproches (ou de plaintes ou de justifications- voir : Faire face au reproche), vous restez un peu stupéfait, bousculé en surface par les émotions que le phénomène ne manque pas de susciter en vous, ne serait-ce que par effet de résonance… Mais finalement, si vous ne partez pas vous-même à partir de là dans une histoire personnelle faite de plaintes, vous restez relativement stable. A bien y regarder, vous êtes en définitive peu concerné par ce qui vient de se produire, dans lequel vous avez peut-être joué votre partition en vous défendant et en attaquant à votre tour.  Vous étiez malheureusement pris dans le mouvement, identifié à votre ego, une fois de plus, mais ce n’est pas si grave, puisque tout cela est vide. Le contenu du conflit a bien un semblant de vraisemblance objective qui vous a fait réagir, mais en fait vous savez que ce n’est qu’un processus vide, qui prend des contenus prétextes pour se mettre en scène, vous laissant ainsi l’opportunité de le voir et de le dissoudre enfin… (voir : « filtre mental« )

Au fond, vous auriez tout aussi bien pu ne pas répondre. Votre ami aurait fait des moulinets plus ou moins dérisoires, évoqué des arguments, mis de l’énergie dans sa tentative de se disputer avec vous, ou de vous convaincre… mais tout cela vous serait apparu sans consistance ; vous auriez pu laisser faire ou bien répondre, mais dans les deux cas, cela n’aurait rien changé, puisque vous ne seriez pas entré dans le jeu, mettant ainsi fin au conflit tragi-comique. Et il faudrait que ce disputeur se trouve un autre partenaire pour jouer, parce que cette fois vous ne mettez pas vos doigts dans l’engrenage. Mais si la personne vous était intime, ou si elle représente symboliquement une part de vous-même qui est active en ce moment, vous vous êtes peut-être laissé embarquer dans l’histoire, vous enlisant avec l’autre dans une dispute absurde, au prétexte qu’il y aurait des enjeux à défendre. Un instant, vous vous êtes raconté qu’il fallait défendre une position et vous avez donc guerroyé. Revenant ensuite à la raison, vous reprenez pied en vous-même et réalisez que ce n’était qu’un leurre, auquel vous vous êtes laissé prendre. Vous avez donné et pris des coups. Et vous restez un peu hébété, comprenant qu’il n’y a rien à reprocher à personne (chacun fait de son mieux ce qu’il croit être juste), rien dont il y ait à se plaindre, aucune raison de se laisser prendre dans un état d’âme (contrariété, déception, culpabilité, irritation, découragement, morosité, etc…). Voir à ce propos : « Faire face à une plainte » Vous rectifiez intérieurement, pour revenir à un climat intérieur plus aligné avec vos objectifs. Mais vous savez qu’il faudra encore un peu de temps pour mûrir et vous émanciper de cette propension à croire qu’il faudrait changer l’extérieur pour se sentir bien à l’intérieur. Vous avez pourtant déjà changé de perspectives, et compris qu’il vaut mieux vous transformer à l’intérieur pour avoir un impact à l’extérieur par voie de conséquence, sans y toucher directement.

Le conflit est toujours une « histoire à dormir debout »

conflit : je suis

Un livre sur le conflit intérieur

Nisargadatta, dans un recueil d’entretiens intitulé « Je suis », propose un point de vue décapant qui fait faire un véritable bond en avant intérieurement, aidant à comprendre que nous ne sommes pas les contenus de nos pensées, ni nos émotions, de même que nous ne sommes pas non plus notre corps. Nous ne sommes pas ce personnage, qui a une histoire, un nom, des préférences, des engagements divers, des désirs et des peurs… Cela n’est qu’un vêtement, un agrégat de pièces rapportées. Alors que sommes-nous ? La question restera encore ouverte… un certain temps (puisque ce que nous sommes est au-delà des capacités mentales, ce n’est pas un objet que l’on pourrait saisir mentalement). En attendant, on peut déjà cesser de s’agiter en vain dans toutes sortes de faux combats contre les autres, qui ne servent qu’à nous étourdir et retarder le moment où nous y verrons clair en nous-mêmes. Si c’était possible, le plus sage serait peut-être de s’abstenir de rentrer en conflit, non pas parce que c’est plus confortable ou par peur des effets, mais par lassitude de cette ronde infernale, qui n’a finalement aucun sens : « Quand l’autre me satisfera, je me sentirai mieux… jusqu’à la prochaine fois ? Et puis quoi après ? encore la même histoire, encore et encore, avec cette personne puis avec cette autre, dans cette situation puis encore dans la suivante ? » Et le temps passe, fait de répétitions absurdes, et fondamentalement insatisfaisantes… Pour sortir d’un jeu, il faut :

C’est fort heureusement une marge de liberté qui nous est accessible. Elle est petite mais elle fait une grosse différence.
Coaching d'équipe

A ce stade de votre réflexion, il serait peut-être bon que nous nous parlions directement de la situation de votre équipe. En une demi-heure d'entretien téléphonique, nous allons pouvoir caractériser votre besoin et nous orienter vers l’offre de coaching la plus adaptée.

Contact par téléphone

Coaching de conflit

Une image m’est venue récemment lors d’un coaching sur le thème du conflit. Comme dans un sandwich, le conflit est une tranche de jambon prise entre deux tranches de pain. Il y a trois niveaux superposés :

Des questions invitant le client à se décentrer de la tranche de jambon, qui lui fait prendre des vessies pour des lanternes, des questions incitant à considérer la situation depuis un autre angle, permettent de trouver des solutions là où on ne les cherchait pas (voir : l’esprit du coaching et penser out of the box)…

Conflit dans l’équipe

Si vous êtes manager vous ne pouvez pas expliquer tout ça à vos équipiers. Vous n’êtes pas leur psy, ni leur guru. Mais vous pouvez déjà être lucide et ce sera déjà beaucoup. Vous pourrez dès lors ne pas entrer dans le contenu pour chercher à comprendre, parce que vous aurez compris qu’il n’y a rien à comprendre au niveau du contenu du conflit (voir : « accepter de ne pas comprendre« ). La seule chose à comprendre c’est qu’il s’agit d’un processus, perdant pour tout le monde, et qu’il faut le désamorcer dans son dynamisme intrinsèque. Vos équipiers, chercheront à vous faire prendre position au sein du conflit. Si vous ne le faîtes pas, ils vous reprocheront d’être pusillanime, d’avoir peur de décider et de prendre un parti clair. Mais tant pis, ces jugements ne parlent que d’eux, finalement.

Donc, vous trancherez quand ce sera possible et nécessaire, mais vous saurez aussi que parfois, il n’y a rien à trancher, mais juste à rester présent, positif, engagé, et rayonnant… Remarquez que je ne dis pas : « rester neutre« . Vous n’êtes pas neutre, puisque vous êtes engagé et faites partie de l’environnement direct du conflit. A minima, vous permettez qu’il ait lieu. Donc, soyez actif et ne permettez pas que ce conflit ait lieu… Comment ? Si un conflit survient, ne cherchez pas à le résoudre à l’extérieur, en rentrant dans le contenu pour pouvoir arbitrer. Rentrez plutôt en vous-même pour résoudre en vous ce à quoi le conflit vous renvoie, et vous serez peut-être surpris des effets sur les autres (qui ne sont par ailleurs au courant de rien de votre démarche). (Voir à ce propos cet article sur : « changer de paradigme ») Vous ne l’aurez pas fait POUR eux, vous l’aurez fait PARCE QUE c’est votre nature de vous nettoyer, dès que vous en avez l’occasion, de façon à rayonner encore davantage, avec les autres. Vous trouverez peut-être que mon approche manque de concret ? Pourtant, travailler sur soi, est ce qu’il y a de plus concret, de plus responsable et de plus courageux. Tant que vous croirez pouvoir faire l’économie de ce travail personnel, vous vous disperserez à l’extérieur, et n’aurez finalement aucune véritable influence sur votre environnement. Inversement, dès que vous reconnaîtrez que tout se passe à l’intérieur, immédiatement votre environnement commencera à s’aligner sur votre ordre intérieur…

Entretien sur la non dualité et l’absence de conflit

De façon indépendant de cet article, et puisque je citais le livre « Je suis », je partage avec vous un entretien réalisé entre un visiteur occidental et Nisargadatta, qui parle de l’état d’unité où cesse le conflit extérieur, parce qu’il n’y a plus de conflit intérieur :

Nisargadatta Maharaj (mars 1897 – 8 septembre 1981) est un guru indien de la doctrine de l’Advaita Vedānta, ou non-dualité. Son enseignement se fit connaître en Occident, notamment au travers du livre intitulé « I am That ». Nisargadatta Maharaj est considéré par nombre d’Occidentaux, intéressés par cette philosophie, comme l’un des grands sages hindous traditionnels de l’époque contemporaine à l’instar d’un Ramana Maharshi lié à cette école du Vedānta. Selon certains des participants de ses réunions, son enseignement se caractérisait par sa manière abrupte et sa simplicité. Nisargadatta Maharaj est considéré par ceux ou celles qui l’ont côtoyé comme un guru traditionnel hindou, humble dans sa démarche, ne cherchant pas la notoriété et la richesse, continuant à vivre de son commerce de cigarettes malgré la célébrité internationale. Dans l’esprit de l’Advaita Vedānta, il enseigne principalement qu’il n’y a rien à chercher, que tout ce que l’être humain recherche est déjà là …Wikipedia

Extrait de l’entretien nº 28 du livre « Je suis », cité plus haut dans cet article… Question : Je viens d’un pays lointain. J’ai fait mes propres expériences intérieures et j’aimerais que nous échangions nos impressions. Maharaj : Tout à fait d’accord. Vous connaissez vous vous-même ? Q: Je sais que je ne suis pas le corps. Pas plus que je ne suis le mental. M: Qu’est-ce qui vous autorise à parler ainsi ? Q: Je sens que je ne suis pas dans le corps. Il me semble occuper l’espace, être partout. Et en ce qui concerne le mental, je peux, pour ainsi dire, le brancher et le débrancher à volonté. Ceci me fait ressentir que je ne suis pas le mental. M: Quand vous sentez que vous occupez tous les endroits du monde, restez-vous séparé du monde ? Ou bien, êtes-vous le monde ? Q: Les deux. Il m’arrive de sentir que je ne suis ni le corps ni le mental mais un regard unique percevant tout. Quand je plonge plus profondément dans cette sensation, je suis tout ce que je vois, et le monde et moi ne faisons qu’un. M: Très bien. Et les désirs, en avez-vous quelques-uns ? Q: Oui, ils se manifestent, rapides, superficiels. M: Comment les traitez-vous ? Q: Que puis-je faire ? Ils vont, ils viennent. Je les regarde. Il m’arrive de voir mon corps et mon esprit occupés à les satisfaire. M: A qui appartiennent ces désirs à satisfaire ? Q: Ils sont une partie du monde dans lequel je vis. Ils sont simplement là, comme sont là les arbres et les nuages. M: Ne sont-ils pas la marque d’une certaine imperfection ? Q: Pourquoi le seraient-ils ? Ils sont ce qu’ils sont et je suis ce que je suis. Comment l’apparition et la disparition des désirs peuvent-elles m’affecter ? Bien sur, ils influent sur la forme et le contenu du mental. M: Comment êtes-vous parvenu à votre état présent ? Q: L’enseignement de Sri Ramana Maharishi m’a mis sur la voie. Puis j’ai rencontré un certain Douglas Harding qui m’a montré comment me penché assidûment sur « qui suis-je ». M: Est-ce que cela fut soudain ou progressif ? Q: Réellement soudain. Comme quelque chose de totalement oublié qui resurgit dans le mental. Ou comme un éclair de compréhension. « Que c’est simple, ai-je dit, que c’est simple ; je ne suis pas ce que je pensais être ! Je ne suis ni le perçu ni celui qui perçoit : je ne suis que l’acte de percevoir ». M: Pas même l’acte de percevoir, mais ce qui rend tout cela possible… Q: Qu’est-ce que l’amour ? M: Où la sensation de distinction et de séparation est absente, là est l’amour. Q: Pourquoi porte-t-on tant d’importance à l’amour entre un homme et une femme ? M: Parce que dans cet amour, l’élément bonheur est le plus important. Q: N’en est-il pas ainsi de tout amour ? M: Pas nécessairement. L’amour peut occasionner de la souffrance. Dans cas on l’appelle compassion. Q: Qu’appelle-t-on bonheur ? M: Le bonheur, c’est l’harmonie entre l’interne et l’externe. Par contre.la souffrance, c’est l’auto-identification avec les causes externes. Q: Comment se produit l’auto-identification ? M: Il est de la nature du soi de ne connaître que lui-même. Cependant, par ignorance, il prend tout ce qu’il perçoit pour lui-même. Meurtri, il apprend la discrimination et le détachement (viveka et vairagya). Quand la conduite juste (uparati) devient l’attitude normale, une puissante et juste force intérieure (mukmukshutva) le pousse à chercher sa source. La chandelle du corps s’allume et tout devient clair et brillant (atmaprakash). Q: Quelle est la cause profonde de la souffrance ? M: L’identification de soi au limité (vyaktitva). La sensation en tant que telle, si forte soit-elle, ne cause pas de souffrance. C’est le mental égaré par les idées fausses et intoxiqué par la pensée : «Je suis ceci, je suis cela », qui craint la perte, court après le gain, puis souffre quand il est frustré. Q: Un de mes amis avait, nuit après nuit, des rêves horribles. Il était terrorisé à l’idée de se mettre au lit. Rien ne pouvait l’aider. M: La compagnie de gens vraiment bons (satsang) l’aiderait. Q: La vie-même est un cauchemar. M: La noble amitié (satsang) est le souverain remède contre tous les maux, physiques ou mentaux. Q: Il arrive qu’on ne puisse pas trouver une telle amitié. M: Cherchez en vous-même. Votre Soi est votre meilleur ami. Q: Pourquoi la vie est-elle si pleine de contradictions ? M: Cela sert à briser l’orgueil du mental. Il faut que nous réalisions combien nous sommes pauvres et sans force. Tant que nous nous illusionnons avec ce que nous nous imaginons être, savoir, posséder et faire, nous sommes dans de sales draps. C’est seulement dans l’auto-négation que nous pouvons trouver la chance de découvrir notre être réel. Q: Pourquoi tant d’insistance sur l’auto-négation ? M: Autant que sur la réalisation de soi. Il faut abandonner le faux soi avant que le vrai ne puisse être découvert. Q: Ce soi que vous choisissez d’appeler faux me parait fâcheusement réel. C’est le seul que je connaisse. Ce que vous appelez le soi réel n’est qu’un simple concept, une façon de parler, une création de l’esprit, un fantôme attrayant. J‘avoue que mon soi quotidien n’est pas une beauté, mais c’est le mien et le seul que j’ai. Vous me dites que je suis, ou que j’ai, un autre soi. Le voyez-vous, est-il pour vous une réalité, ou voulez- vous me faire croire ce que vous-même ne voyez pas ? M: Ne sautez pas à des conclusions téméraires. Le concret n’est pas nécessairement le réel, ce qui est conçu n’est pas obligatoirement faux. Les perceptions fondées sur les sensations et mises en forme par la mémoire, impliquent un sujet percevant dont vous n’avez jamais pris la peine d’étudier la véritable nature. Accordez-lui toute votre attention, examinez-le avec un soin amoureux, et vous découvrirez des hauteurs et des profondeurs d’être dont vous n’avez jamais rêvé, englué que vous êtes dans la chétive image que vous avez de vous. Q: Il faudrait que je sois dans de bonnes dispositions pour m’examiner fructueusement. M: Vous devez être sérieux, déterminé, réellement intéressé. Vous devez être rempli de bonne volonté envers vous-même. Q: Il me semble être déjà passablement égoïste. M: Vous ne l’êtes pas. Vous passez votre temps à détruire et vous-même, et ce qui est vôtre, en servant des dieux étrangers, défavorables et faux. Soyez donc égoïste, de la bonne façon. Souhaitez-vous du bien, travaillez à ce qui est bon pour vous. Détruisez tout ce qui s’interpose entre vous et le bonheur. Soyez tout, aimez tout, soyez heureux, rendez heureux. Il n’y a pas de plus grand bonheur. Q: Pourquoi y a-t-il tant de souffrance dans l’amour ? M: Toute souffrance naît du désir. L’amour vrai n’est jamais frustré. Comment une sensation d’unité pourrait-elle être frustrée. Ce qui peut-être frustré, c’est la soif d’expression qui est un désir du mental. Et comme avec tout ce qui vient du mental, la frustration est inévitable. Q: Quelle est la place du sexe dans l’amour ? M: L’amour est un état de l’être. Le sexe est énergie. Une fois qu’on a compris la vraie nature de l’amour et du sexe, il n’y a plus de conflit. Q: Il y a beaucoup de sexe sans amour. M: Sans l’amour tout est mal. La vie-même, sans amour, c’est le mal. Q: Qu’est-ce qui pourrait me faire aimer ? M: Vous êtes l’amour-même, quand vous n’avez pas peur.

Paul Devaux

Coach professionnel

Depuis 25 ans, Paul pratique le Coaching professionnel en entreprise, dans une approche systémique. Accrédité à la Société Française de Coaching en 2008, il est également formateur et superviseur de Coachs depuis 2010. Egalement fondateur d'une école de coaching (voir NRGY-trainig.fr).

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